Test de vêtementsDix cirés actuels - les points forts et les points faibles en comparaison

Michael Rinck

 · 31.03.2024

Les conditions sont rarement aussi extrêmes sur les yachts de croisière. Mais il faut tout de même emporter un bon ciré
Photo : TOM; WHSPR; TOR
Pour que le mauvais temps ne gâche pas la croisière, le système d'habillement doit être très performant. Nous avons testé des cirés et comparé dix ensembles Coastal. Avec de très bons résultats

Nous avons testé ces kits :

Lorsque les embruns volent ou qu'il pleut à verse, les couches de vêtements fonctionnels aident à rester au sec et au chaud. Sur la peau, la couche de base (sous-vêtements thermiques) combinée à la couche intermédiaire protège du froid. La couche imperméable la plus extérieure, composée d'un pantalon et d'une veste avec des poignets serrés et une capuche, agit comme dernier rempart contre le mauvais temps.

Mais là aussi, les fabricants proposent différents vêtements pour répondre à des besoins spécifiques. La plupart du temps, ils sont classés en fonction de la zone de navigation : Inshore, Coastal et Offshore. Les vêtements pour la navigation en mer (donc pour les zones côtières et intérieures) sont généralement très réduits, éventuellement même sans capuche et avec un col discret. Les vêtements offshore pour les passages océaniques offrent une bien meilleure protection contre les éléments. La variante Coastal se situe exactement entre les deux. Elle offre une protection suffisante, mais est généralement assez légère et se situe dans la moyenne en termes de prix. Elle convient donc aux navigateurs qui font des croisières à la journée pendant la saison.

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L'huile Coastal n'est pas non plus bon marché, le prix du kit peut rapidement atteindre 1 000 euros.

La fourchette de prix pour les cirés Coastal est assez large. On trouve déjà des vestes et des pantalons avec une bonne fonctionnalité à partir de 500 euros. C'est toujours beaucoup d'argent. Mais les vêtements fonctionnels sont incontournables. Même en été, il peut vite faire très froid par mauvais temps. Et la protection contre l'humidité est en fin de compte une mesure préventive contre l'hypothermie. Les vêtements coûteux sont donc indispensables.

Dix garnitures étaient représentées dans le test. Presque toutes provenaient de fabricants renommés du secteur des sports nautiques. La seule exception est Patagonia avec son produit Big Water Foul Weather. En fait, il s'agit d'un ciré offshore, mais pour les zones tropicales. Malheureusement, le pantalon n'était pas disponible. Sinon, il y avait le nouvel OS3 de Gill, le Newport rétro de Helly Hansen, le M-Pro 2.0 de Henri Lloyd et le BR2 de Musto (recommandé par le fabricant comme combinaison de navigation côtière) ainsi que le LPX plus léger. North Sails, une marque très réputée, faisait désormais partie des candidats, avec une gamme complète de vêtements.

Avec les variantes Inshore Race et NSX Inshore, deux combis plus légers étaient au départ. Il y avait aussi Typhoon, le ciré qui remplace la marque propre de Plastimo, qui vient de Bukh Bremen en Allemagne et qui est commercialisé chez 12seemeilen.de. Enfin, le CST500 de la marque australienne Zhik. Compass, Crazy4Sailing et Seatec n'ont pas participé au test, car ces fabricants ne proposent plus de produits depuis l'année dernière. test passé (YACHT 9/2020), il n'y avait pas de nouveautés. Le nouveau ciré de Marinepool n'est malheureusement pas arrivé à temps pour le test. Sailracing propose des pièces prometteuses, mais pas de kit d'huilage pour la navigation côtière. Les dix cirés testés ont fait l'objet d'un montage expérimental reproductible. Pour ce faire, ils ne sont pas montés à bord, mais sont passés, entre autres, sous la douche pour des averses simulées.

Selon l'idée reçue, c'est pourtant à bord que les conditions réalistes devraient donner des résultats. Mais ces résultats dépendent fortement du temps qu'il fait. Si le soleil brille, il n'y a pas de résultats exploitables. En outre, le temps pourrait changer au cours de la journée, ce qui ne permettrait pas d'obtenir des conditions de test constantes pour tous les produits. C'est pourquoi nous testons les vêtements fonctionnels dans le cadre d'un dispositif expérimental reproductible.

Comment tester le ciré

Parmi les éléments essentiels, on trouve un essayage avec des mouvements répétés à l'identique pour déterminer la coupe et la liberté de mouvement, ainsi qu'une simulation d'averse de cinq minutes sous la douche, au cours de laquelle les mêmes mouvements sont également répétés à l'identique. La capuche est testée avec une attention particulière. L'étanchéité, le confort et la bonne visibilité sont des facteurs décisifs.

Les points du tableau qui déterminent finalement le vainqueur du test ont été pondérés de manière à ce que l'étanchéité à l'eau obtienne le plus de points (40). C'est en effet la raison pour laquelle on achète un ciré en premier lieu. Vient ensuite le confort avec 30 points. Dans cette catégorie, l'assise et la visibilité de la capuche ont également été évaluées. Enfin, un bon comportement au séchage, un prix bas et des options telles que des poches supplémentaires permettent de gagner 10 points sur un total de 100.

La bonne nouvelle : huit des dix breaks testés ont obtenu 80 points ou plus. Le champ de test ne comprend donc presque que de très bons produits. Seuls deux véhicules ont été pénalisés pour cause d'infiltration d'eau.

Le confort de port au banc d'essai

En ce qui concerne le confort, Henri Lloyd, Typhoon et Zhik ont particulièrement convaincu. Ils sont suivis de près par Gill, Musto avec BR2 et LPX, Helly Hansen et North Sails. Ces dernières combinaisons ont perdu des points parce que la capuche bloque un peu la vue lorsque la tête est tournée. Le NSX Inshore de North, en particulier, est très bien ajusté. Sur l'Inshore Race, les renforts 4DL en plastique étanche sont un peu rigides, ce qui nuit un peu à l'assise par ailleurs très bonne. L'idée ici est que les patchs aux genoux et aux fesses n'absorbent pas l'eau comme les renforts traditionnels en Cordura. Henri Lloyd et Zhik misent également sur ce nouveau matériau pour les renforts. Mais ici, il n'est pas aussi épais et les patchs sont plus petits.

Les possibilités de réglage sont également prises en compte dans le confort de port. Ce qui compte ici, c'est la facilité avec laquelle le vêtement s'adapte à son propre corps. Les poignets et les chevilles, le réglage des bretelles ou de la taille, de l'ourlet de la veste ou de la capuche sont déterminants. Pour les bretelles, il existe des approches très différentes : Chez Henri Lloyd, Musto LPX et Zhik, les fabricants misent sur des salopettes très hautes, équipées d'un matériau stretch au niveau des bretelles, mais qui n'ont pu être réglées par velcro que chez Henri Lloyd. Cela n'a cependant pas été un inconvénient lors du test.

Pour les autres pantalons, le réglage s'est fait par velcro. North Sails a ici un système particulier : les bandes de velcro se trouvent dans la bavette, elles sont ainsi cachées. Seule la bretelle dépasse un peu en bas. Pour éviter qu'elle ne s'accroche au midlayer, le fabricant recommande de couper cette partie de la bretelle à chaud après le réglage. Sur le Musto BR2, la bretelle est déviée de 180 degrés et agrafée sur elle-même. Deux revêtements tubulaires empêchent le velcro de s'accrocher au sous-vêtement.

Ajustement et étanchéité des capuches

Les meilleures capuches sont celles de Gill et de Zhik. Elles se ferment bien au niveau du front, tournent proprement avec le reste et se règlent très bien dans deux directions. Helly Hansen, Henri Lloyd, Musto LPX et Typhoon sont également bons dans ce domaine. Le BR2 de Musto joue ici un rôle particulier, car c'est la seule combinaison du test à avoir un col offshore. Celui-ci offre nettement plus de protection, mais empêche la capuche de bien tourner. La capuche elle-même est même doublée de polaire au niveau du front et est très confortable. Il s'agit ici d'un compromis entre protection et champ de vision libre. Les coutures mal faites avec des fils qui dépassent ont été malencontreusement remarquées.

Lors du test d'imperméabilité, Typhoon et Patagonia ont été les deux perdants. Sur le Coastal TX-3 de Typhoon, la couture de la visière de la capuche, donc directement sur le front, n'était pas soudée de l'intérieur. Des gouttes d'eau ont coulé à travers, sur le visage et dans le col. C'est dommage, car le ciré fait par ailleurs très bonne impression et, avec 170 euros par pièce, il est de loin le moins cher du test. Mais une couture non étanche ne doit tout simplement pas exister sur un vêtement imperméable.

Sur la veste Big Water Foul Weather de Patagonia, la combinaison défavorable d'un faible dépassement au niveau de la capuche et d'un col assez large a causé des désagréments. L'eau s'écoulait ainsi de la capuche vers le col, surtout sur les côtés. Après la simulation d'une averse, les vêtements sous la veste étaient vraiment mouillés. Cela non plus n'est pas acceptable !

Comportement au séchage des kits testés

Pour le comportement au séchage, nous avons déterminé trois poids : chaque pièce a été pesée à l'état neuf, puis après l'averse (égouttée) et encore une fois après huit heures de séchage à température ambiante. La différence entre le premier et le dernier poids nous renseigne sur le comportement au séchage.

Dans cette discipline, les vêtements de Zhik et l'Inshore Race de North ont marqué des points. Ils sont suivis de près par Typhoon, NSX Inshore de North, Musto LPX et Henri Lloyd. Après une journée humide en mer, ces vêtements sèchent le plus rapidement pendant la nuit. En cas de contact avec l'eau salée, un rinçage à l'eau douce est toutefois indispensable.

Pour ranger en toute sécurité le smartphone et les petites pièces d'équipement, les poches sont importantes. Elles sont présentes chez tous dans leur version minimale avec deux poches extérieures sur la veste, une poche intérieure et une sur la cuisse du pantalon. Si elles sont bien utilisables, tout est parfait. Helly Hansen propose des extras avec des poches thermiques sur la poitrine et derrière les poches extérieures de la veste. Même chose pour le BR2 de Musto. Le TX-3 de Typhoon offre deux grandes poches de pantalon étanches et une poche de poitrine sur la braguette. Henri Lloyd propose en plus le "Breeze Clip", une languette avec bouton qui maintient la veste en place lorsque la fermeture éclair est ouverte. Ainsi, après un effort intense, il est possible d'aérer sans que la veste ne claque sauvagement.

North Sails a utilisé un tissu particulièrement fin sur la face extérieure, le TightWeave, qui est responsable de la faible absorption d'eau et du très bon comportement de séchage. De plus, lors de la conception, on a veillé à ce qu'il n'y ait pas de poches avec lesquelles l'équipage pourrait rester accroché aux fils de bastingage sur le bord. Zhik propose un petit plus utile : un espace de rangement a été prévu sur la partie supérieure du bras pour y placer un émetteur de secours personnel à un endroit aussi élevé que possible.

Conclusion du test comparatif des cirés

Le CST500 de Zhik est le vainqueur incontesté. Il est suivi de près par de très bonnes alternatives. Suivent, en termes de points, Henri Lloyd, Helly Hansen, Musto LPX et le NSX Inshore de North Sails. Le conseil absolu en matière de rapport qualité-prix est la combinaison de Gill : le ciré est assez proche de l'OS2 et peut donc presque rivaliser avec les vêtements offshore, tout en étant assez léger, et ce à un prix très attractif. A titre de comparaison, le pantalon de Gill est disponible pour 199 euros, celui du vainqueur du test Zhik pour 470 euros.

L'Inshore Race de North Sails est le plus cher, avec un prix de set de 1.275 euros. En contrepartie, le navigateur dispose d'un excellent ciré, dont seuls les renforts un peu rigides ont été pénalisés lors du test. Il s'agit en outre, avec le LPX de Musto, de la seule combinaison dotée d'une membrane Gore-Tex. Les avantages pratiques sont difficiles à mesurer lors du test, mais ils sont indéniables en cas de très forte activité suivie de phases de repos. Le navigateur peut toutefois ici simplement ouvrir la veste à l'abri de la capuche de spray pour aider la régulation de l'humidité du vêtement à se mettre en route.

Néanmoins, une membrane de marque est un avantage qui mérite d'être mentionné, mais qui se reflète également dans le prix élevé. L'ensemble de Henri Lloyd, qui n'est pas non plus une bonne affaire avec ses 1.150 euros (mais qui n'est pas équipé d'une membrane Gore-Tex), a également obtenu un très bon résultat dans l'évaluation. Des valeurs de séchage pas aussi bonnes et le prix très élevé ont cependant permis à Zhik de passer devant.

Hormis ces deux exceptions peu glorieuses, les navigateurs sont bien protégés par les candidats au test. Au final, c'est un essayage qui doit décider si notre vainqueur du test correspond aux souhaits individuels. Pour que la pluie ne vienne pas gâcher une belle journée de navigation.

Données détaillées et résultats des tests

Gill OS3 Coastal Jacket + Trousers (conseil qualité-prix de YACHT)

Gill Coastal Black
Photo : YACHT/J. Kubica

Le nouveau ciré de Gill est bien ajusté, la capuche permet également une bonne visibilité. Cependant, elle dépasse assez peu du col, c'est tout juste suffisant. Les poignets sont très faciles à régler. Le pantalon descend presque jusqu'au cou

  • + Poignets bien réglables
  • + Le pantalon monte très haut
  • + poches thermiques sur la veste
  • + La capuche offre une bonne visibilité
  • + Plus de 50 pour cent de matériaux recyclés
  • - Peu de poches

Évaluation

  • Distribution : www.gillmarine.de
  • Prix Veste (5) : 260 euros (5)
  • Prix du pantalon (5) : 199 euros (5)
  • Confort de port (30) : Bon (25)
  • Étanchéité à l'eau (40) : Bon (35)
  • matériel : Deux couches, Xplore
  • Poids de la veste en g (5) : 890/926/906 (3)
  • Poids du pantalon en g (5) : 870/932/887 (1)
  • Extras (10) : Peu de poches, mais utiles. Poignets doubles très bien réglables (8)
  • Évaluation de YACHT : Très bon (82)

Valeurs entre parenthèses : nombre maximal de points pouvant être obtenus, nombre de points effectivement obtenus


Helly Hansen Newport Coastal Jacket + Bib

Helly Hansen Newport
Photo : YACHT/J. Kubica

Le ciré de Helly Hansen a un design rétro des années 90. La fonctionnalité est bonne, la veste taille un peu plus grand. Le fabricant mise sur des fibres recyclées issues de déchets marins et sur un revêtement sans PFC.

  • + Pantalon près du corps
  • + La capuche offre une bonne visibilité
  • + doubles poches de chaleur
  • + Plus de 50 pour cent de matériaux recyclés
  • + rabats anti-tempête devant les zips
  • - Veste assez large

Évaluation

  • Distribution : www.hellyhansen.com
  • Prix Veste (5) : 350 euros (4)
  • Prix du pantalon (5) : 230 euros (5)
  • Confort de port (30) : Bon (25)
  • Étanchéité à l'eau (40) : Très bon (40)
  • matériel : Deux couches, Helly Tech
  • Poids de la veste en g (5) : 1.040/1.136/1.081 (1)
  • Poids du pantalon en g (5) :759/776/768 (3)
  • Extras (10) : Deux poches chauffantes, bonne coupe, doubles poignets (10)
  • Évaluation de YACHT : Très bon (88)

Valeurs entre parenthèses : nombre maximal de points pouvant être obtenus, nombre de points effectivement obtenus


Henri Lloyd M-Pro Jacket 2.0 + Salopette

Henri Lloyd M-Pro 2.0
Photo : YACHT/J. Kubica

Le M-Pro 2.0 est très léger et n'a pas de doublure intérieure. Il offre une très bonne coupe, des doubles poignets bien réglables et dispose de renforts en plastique aux genoux et aux fesses qui n'absorbent pas l'eau.

  • + Très léger
  • + Très bonne liberté de mouvement
  • + renforts en plastique
  • + 100 pour cent de fibres recyclées
  • + La capuche offre une bonne visibilité
  • - Prix élevé

Évaluation

  • Distribution : www.henrilloyd.com
  • Prix Veste (5) : 650 euros (1)
  • Prix du pantalon (5) : 500 euros (2)
  • Confort de port (30) : Très bon (30)
  • Étanchéité à l'eau (40) : Très bon (40)
  • matériel : triple couche, DRIpro
  • Poids de la veste en g (5) : 675/695/681 (5)
  • Poids du pantalon en g (5) :632/642/641 (3)
  • Extras (10) : Peu de poches bien utilisables. Très grande poche intérieure. Breeze Clip (10)
  • Évaluation de YACHT : Très bon (91)

Valeurs entre parenthèses : nombre maximal de points pouvant être obtenus, nombre de points effectivement obtenus


Musto BR2 Veste Offshore 2.0 + Pantalon

Musto BR2 Offshore
Photo : YACHT/J. Kubica

Recommandé par Musto pour la navigation côtière. Avec col haut et rabat anti-tempête, équipement typique du offshore. La capuche ne tourne pas très bien, d'où une déduction pour le confort. La coupe offre une bonne liberté de mouvement. Assez lourd

  • + Beaucoup de poches de chaleur
  • + Col très haut avec polaire
  • + bretelles réglables avec velcro
  • + doubles poignets bien ajustables
  • - La finition a des défauts
  • - La capuche ne tourne pas bien

Évaluation

  • Distribution : www.frisch.de
  • Prix Veste (5) : 399 euros (3)
  • Prix du pantalon (5) : 319 euros (4)
  • Confort de port (30) : Assez bien (20)
  • Étanchéité à l'eau (40) : Très bon (40)
  • matériel : Membrane PU
  • Poids de la veste en g (5) : 1.359/1.399/1.384 (2)
  • Poids du pantalon en g (5) :972/988/988 (1)
  • Extras (10) : Double poches thermiques, deux poches intérieures, poches thermiques sur le pantalon (10)
  • Évaluation de YACHT : Bon (80)

Valeurs entre parenthèses : nombre maximal de points pouvant être obtenus, nombre de points effectivement obtenus


Veste LPX Gore-Tex + salopette Musto

Musto LPX GTX
Photo : YACHT/J. Kubica

Le LPX est super léger, sèche rapidement et dispose d'une grande respirabilité grâce à sa membrane Gore-Tex. Il est donc fondamentalement différent du BR2, mais c'est un ciré de bien meilleure qualité. La capuche offre une bonne visibilité

  • + Très bonne liberté de mouvement
  • + Matériau léger
  • + Séchage rapide
  • + 100 pour cent de polyester recyclé
  • + poche supplémentaire sur le bras
  • - Prix élevé

Évaluation

  • Distribution : www.frisch.de
  • Prix Veste (5) : 499 euros (2)
  • Prix du pantalon (5) : 479 euros (3)
  • Confort de port (30) : Bon (25)
  • Étanchéité à l'eau (40) : Très bon (40)
  • matériel : Triple couche, Gore-Tex
  • Poids de la veste en g (5) : 570/599/587 (3)
  • Poids du pantalon en g (5) :671/679/678 (5)
  • Extras (10) : Capuche amovible, poche sur le bras supérieur gauche. Pas de poche intérieure (8)
  • Évaluation de YACHT : Très bon (86)

Valeurs entre parenthèses : nombre maximal de points pouvant être obtenus, nombre de points effectivement obtenus


North Sails Veste Inshore Race + Pantalon

North Sails Inshore Race
Photo : YACHT/J. Kubica

North fait beaucoup de choses différentes avec son ciré : le tissu TightWeave de la surface doit absorber particulièrement peu d'eau, tout comme les renforts. La membrane Gore-Tex est au sommet de l'échelle, ce qui se reflète dans le prix.

  • + Très léger, bon ajustement
  • + Réglage innovant de la sangle d'épaule
  • + Les renforts n'absorbent pas l'eau
  • + label de durabilité bluesign
  • - La capuche ne tourne pas bien
  • - Prix élevé

Évaluation

  • Distribution : www.northsails.com
  • Prix Veste (5) : 625 euros (1)
  • Prix du pantalon (5) : 650 euros (1)
  • Confort de port (30) : Assez bien (20)
  • Étanchéité à l'eau (40) : Très bon (40)
  • matériel : Triple couche, Gore-Tex
  • Poids de la veste en g (5) : 577/588/583 (5)
  • Poids du pantalon en g (5) :728/739/733 (5)
  • Extras (10) : Peu de poches, mais bien utilisables. Renforts en 4DL, TightWeave (10)
  • Évaluation de YACHT : Très bon (82)

Valeurs entre parenthèses : nombre maximal de points pouvant être obtenus, nombre de points effectivement obtenus


North Sails NSX Inshore Jacket + Trousers

North Sails NSX
Photo : YACHT/J. Kubica

Le ciré de North, plus simple, peut néanmoins se targuer d'une bonne liberté de mouvement, d'une très bonne coupe et d'un séchage rapide. Seule la capuche n'est pas tout à fait convaincante. Le prix est nettement plus attractif

  • + Très léger, bon ajustement
  • + Réglage innovant de la sangle d'épaule
  • + 100 pour cent de nylon recyclé
  • + Séchage rapide
  • + Alternative passionnante à Race en termes de prix
  • - La capuche ne tourne pas bien

Évaluation

  • Distribution : www.northsails.com
  • Prix Veste (5) : 300 euros (4)
  • Prix du pantalon (5) : 290 euros (4)
  • Confort de port (30) : Assez bien (20)
  • Étanchéité à l'eau (40) : Très bon (40)
  • matériel : Trois couches, NSX
  • Poids de la veste en g (5) : 629/698/639 (4)
  • Poids du pantalon en g (5) :755/786/764 (4)
  • Extras (10) : Poche de conception flush sur la jambe. Renforts en Cordura, TightWeave (10)
  • Évaluation de YACHT : Très bon (86)

Valeurs entre parenthèses : nombre maximal de points pouvant être obtenus, nombre de points effectivement obtenus


Veste Patagonia Big Water Foul Weather

Patagonia Big Water
Photo : YACHT/J. Kubica

Patagonia est réputée dans le domaine des vêtements de plein air et connue pour sa fabrication durable. Ici aussi, tous les matériaux sont recyclés à 100 %. Les renforts sont inconfortables, le col combiné à la capuche n'est pas étanche

  • + Double poignets bien ajustés
  • + grands réflecteurs
  • - Pantalon non disponible
  • - Les renforts sur le bras sont durs, inconfortables
  • - Capuche trop courte
  • - Infiltration d'eau au niveau du col

Évaluation

  • Distribution : www.patagonia.com
  • Prix Veste (5) : 650 euros (1)
  • Prix du pantalon (5) : 550 euros, non disponible
  • Confort de port (30) : Suffisant (10)
  • Étanchéité à l'eau (40) : Défectueux (0)
  • matériel : Quatre couches, H2No
  • Poids de la veste en g (5) : 1.057/1.155/1.091 (1)
  • Poids du pantalon en g (5) :k.A.
  • Extras (10) : Poches thermiques plus poches de poitrine étanches. Poche intérieure sans fermeture (8)
  • Évaluation de YACHT : Défectueux (20)

Valeurs entre parenthèses : nombre maximal de points pouvant être obtenus, nombre de points effectivement obtenus


Typhoon Coastal TX-3 Veste de voile + pantalon de voile

Typhoon TX3 Côte
Photo : YACHT/J. Kubica

Le TX-3 de Typhoon convainc par sa très bonne tenue, son matériau léger et sa capuche qui tourne très bien. Malheureusement, cette dernière n'est pas étanche au niveau de la couture, ce qui fait que de l'eau s'écoule sur le front et dans le col. Dommage ! Le prix est très attractif

  • + Très bon ajustement
  • + Matériau léger
  • + Séchage rapide
  • + De nombreuses poches utiles
  • + prix attractif
  • - Capuche non étanche au niveau de la couture

Évaluation

  • Distribution : www.12seemeilen.de
  • Prix Veste (5) : 170 euros (5)
  • Prix du pantalon (5) : 170 euros (5)
  • Confort de port (30) : Très bon (30)
  • Étanchéité à l'eau (40) : Défectueux (0)
  • matériel : Triple couche, TX-3 DWR
  • Poids de la veste en g (5) : 563/612/573 (4)
  • Poids du pantalon en g (5) :629/650/633 (5)
  • Extras (10) : Deux grandes poches étanches sur le pantalon plus une sur la poitrine. Nombreuses poches dans la veste (10)
  • Évaluation de YACHT : Satisfaisant (59)

Valeurs entre parenthèses : nombre maximal de points pouvant être obtenus, nombre de points effectivement obtenus


Veste Zhik CST500 + Salopette (Vainqueur du test YACHT)

Zhik CST500
Photo : YACHT/J. Kubica

Très bon confort, ce qui est particulièrement vrai pour la capuche, le matériau léger avec d'excellentes propriétés de séchage et de très bons résultats lors d'une averse simulée font du Zhik CST500 le vainqueur du test.

  • + Très bon ajustement
  • + Matériau léger
  • + Séchage rapide
  • + La capuche tourne très bien
  • + Zithane Lightweight aux genoux et aux fesses
  • - Prix assez élevé

Évaluation

  • Distribution : www.frisch.de
  • Prix Veste (5) : 480 euros (3)
  • Prix du pantalon (5) : 470 euros (3)
  • Confort de port (30) : Très bon (30))
  • Étanchéité à l'eau (40) : Très bon (40
  • matériel : Trois couches, Aroshell
  • Poids de la veste en g (5) : 586/643/593 (5)
  • Poids du pantalon en g (5) :621/644/624 (5)
  • Extras (10) : Poignets simples avec stretch. Poche sur le haut du bras pour PLB (10)
  • Évaluation de YACHT : Très bon (96)

Valeurs entre parenthèses : nombre maximal de points pouvant être obtenus, nombre de points effectivement obtenus


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