Chers lecteurs, chères lectrices,
Ces jours-ci, on parle beaucoup de la question de savoir dans quelle mesure les termes sont encore d'actualité. Avec un certain retard, la tempête a également atteint des mots ou des expressions issus du cosmos de la voile. Certains sont considérés comme incontournables dans la "lingua nautica". Comme s'ils étaient coulés dans le plomb et noyés dans la quille longue d'un yacht de croisière qui s'obstine à avancer à contre-courant du changement. Inébranlable, pas désagréable, gardant toujours sa dignité ; les embruns perlent sur la surface en bois laqué brillant. La tradition est toujours liée à l'entretien.
Il ne s'agit pas ici de mettre en lumière le cas de "l'homme à la mer" ; un documentaire télévisé sur Daniel Küblböck (médiathèque ARD) a mis en lumière le sujet et la nouvelle orthographe, à mon avis à juste titre. Non, restons-en aux aspects matériels. Il s'agit de l'essentiel, du bateau qui nous porte et nous fait avancer. Nous disons yacht, LE yacht. Un mot qui suscite des associations. D'élégance et de beauté. Ce n'est pas pour rien que l'orthographe "yacht" n'a pas trouvé son chemin dans le monde de la voile - bien que le Duden l'ait imposé et que la lettre initiale ronde corresponde plutôt aux lignes douces des voiles à l'origine. D'une part, en tant que magazine, nous nous en tenons à l'original : dès 1904, le titre de la première édition était orné du logo "Die Yacht" (à l'époque, il s'agissait encore d'un article).
D'autre part, nous nous accrochons par habitude à l'original emprunté à l'anglais. N'est-ce pas ? La question se pose plutôt de savoir si l'article féminin convient encore aux fissures contemporaines. Le langage formel masculin n'a plus seulement fait son entrée dans les formats Performance et Cruiser, il prédomine. Ce qui domine, ce sont les arêtes, les sauts de pont rectilignes, les étraves perpendiculaires et les contours si évasés qu'ils sont certes indéformables, mais ont l'air informe - aux yeux de certains observateurs. Peut-être faudrait-il invoquer la parité, car les noms des modèles de catamarans sont déjà précédés de l'article masculin.
Ou bien on laisse Otto ProtzenLe ministre de l'Agriculture, le ministre de l'Agriculture, le ministre de l'Agriculture, le ministre de l'Agriculture, le ministre de l'Agriculture, le ministre de l'Agriculture, le ministre de l'Agriculture, le ministre de l'Agriculture, le ministre de l'Agriculture et le ministre de l'Agriculture. Parce qu'il faut les nettoyer éternellement, parce qu'ils coûtent beaucoup d'argent, qu'ils veulent toujours être bien traités, qu'ils ont souvent leurs caprices et qu'il est très difficile de s'en débarrasser une fois qu'on les a".
Au début du 20e siècle, le Berlinois dominait la scène des yachts de classe spéciale, des bateaux à quille plate pour trois gentlemen navigateurs de part et d'autre de l'Atlantique. Il était également peintre paysagiste, créateur de belles fissures et écrivain. La prose de Protzen le révèle comme un grand ami des termes maritimes, qu'il vaut la peine d'exhumer. Ses mémoires maritimes "40 ans sur l'eau" méritent absolument d'être lues. De plus, une exposition sur les marins d'exception de Prusse est à admirer dans son association Seglerhaus am Wannsee (VSaW).
Sören Gehlhaus
Rédacteur de YACHT
Dans le 55e épisode du podcast YACHT, Petros Michelidakis, directeur du salon boot Düsseldorf, est notre invité. Il nous parle de son travail et du salon à venir.
Les personnes qui attendent une place de bateau à Bregenz devront à l'avenir payer une "taxe d'évidence" annuelle de 30 euros. La ville justifie cette nouvelle réglementation par les frais administratifs. Ceux qui ne paieront pas seront retirés de la liste d'attente.
Un nouveau projet de day-sailer argentin vise le marché européen avec sa quille pivotante et ses lignes rapides signées Soto Acebal. Si tout se passe comme prévu, on pourra voir le DS27 de 8,30 mètres de long au salon boot Düsseldorf 2027.
Le Boxing Day marque le début de la Rolex Sydney Hobart Race. La favorite est "Master Lock Comanche". Avec "Alithia" de Jost Stollmann, une beauté des eaux bleues est de la partie.
La goélette DynaRig "Maltese Falcon", longue de 88 mètres, navigue sous le pavillon de Jumeirah Privé. La nouvelle orientation charter donne un aperçu de l'intérieur du pont et du système moderne de voiles carrées.
Esseboats en Suisse construit un nouveau modèle. L'Esse 890 reprend les gènes sportifs de la marque, mais se montre très polyvalent pour une utilisation multiple.
Et le Trophée Jules Verne attire éternellement : l'équipage de Thomas Coville sur "Sodebo Ultim 3" est parti. La première fenêtre météo est pour le moins prometteuse.
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La flotte de la mer Baltique de la marine russe a reçu un deuxième destroyer. Le "Severomorsk" a récemment été retiré de la flotte du Nord et transféré à Pillau. Les experts soupçonnent un lien avec la "flotte fantôme".
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