Leonie Meyer
· 08.08.2025
Dans l'interview avec Timm Kruse, Boris Herrmann montre clairement à quel point The Ocean Race Europe lui tient à cœur - c'est sa dernière course avec le bateau dans lequel il a mis "tant de cœur". La mission de Malizia est claire : gagner, monter au moins sur le podium et tout montrer une dernière fois avant que Herrmann ne prenne son envol avec un nouveau bateau en cours de construction.
Toutes les équipes sont internationales. A bord de Team Malizia : Will Harris (GBR), Cole Brauer (USA), Francesca Clapcich (ITA/USA), Justine Mettraux (SUI), Loïs Berrehar (FRA) - et Boris Herrmann comme skipper. Il précise que dans de telles régates, chaque jour compte et que "de tout petits détails font la différence". La conscience du défi est grande : les conditions de vent et de météo le long des côtes européennes changent constamment. Boris Herrmann explique les règles à respecter et ce qui l'inquiète le plus.
Malgré des années d'expérience, l'homme de 44 ans est honnête : le "picotement du ventre" et le respect pour une telle course en mer restent. La phase de départ, au cours de laquelle les sept Imoca se rencontrent à grande vitesse dans le fjord de Kiel, exige notamment une concentration maximale, comme il le décrit dans le podcast.
En plus des longues étapes en mer, Herrmann mise sur un entraînement intensif - également à terre. Dans le podcast, il donne un aperçu de la manière dont cela se passe exactement, afin que lui et son équipe soient parfaitement préparés à toutes les situations. En outre, la star allemande de la voile répond à la question de savoir comment il se prépare mentalement à ces courses exigeantes. En outre, il dévoilera aux auditeurs quels sont ses projets pour les années à venir.
Le skipper aborde également l'aspect de l'âge : les navigateurs atteignent souvent leurs meilleures performances vers le milieu de la quarantaine et deux facteurs sont particulièrement décisifs à cet égard.
Le thème de la protection de l'environnement est également abordé. Boris Herrmann, qui s'engage pour une navigation durable, cherche des possibilités de minimiser la consommation de ressources et d'apporter des améliorations dans son propre cadre d'action. Dans cet épisode du podcast, il explique dans quelle mesure cela fonctionne pour The Ocean Race Europe et d'autres régates.
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