eWay est le nom du chauffage électrique mobile qu'AWN a présenté cette semaine. Avec ses dimensions compactes de 402 x 363 x 85 millimètres et son poids de 4,8 kilogrammes, il devrait trouver sa place sur les petits bateaux et peut aussi bien être posé que monté sur la cloison. Le chauffage est électrique et se fait par circulation de l'air ambiant, comme avec un radiateur à la maison. L'eWay peut chauffer avec 400 et 800 watts. Cela n'a l'air de rien au premier abord, mais les experts de Wibo assurent que grâce à des éléments chauffants efficaces et à une régulation électronique, le salon du bateau devrait très rapidement atteindre une température agréable.
La température peut être réglée sur le chauffage lui-même ou via un thermostat sans fil. Celui-ci peut être placé dans le bateau et une température souhaitée peut être réglée. Lorsque celle-ci est atteinte, l'eWay s'éteint automatiquement ; lorsque l'air se refroidit, il se remet à chauffer.
Selon AWN, le nouveau chauffage peut également être utilisé avec la batterie de consommation à bord. Pour cela, un inverseur est alors nécessaire, car le chauffage dispose d'une prise pour 230 volts. L'inverseur devrait toutefois être raccordé aux bornes de la batterie, car pour une puissance de chauffage de 400 watts avec 12 volts, plus de 30 ampères de courant circulent. C'est trop pour l'allume-cigare.
Contrairement à la plupart des aérothermes, l'eWay est également conçu pour fonctionner en continu sans surveillance. En outre, il est équipé d'une connexion Wi-Fi et peut être commandé via une application smartphone. Si une connexion internet wi-fi est disponible dans le port, le chauffage peut même être commandé à distance et les plaisanciers peuvent contrôler de chez eux la température de leur bateau.
Pour un supplément de 50 euros, AWN propose de munir la façade d'un film sur lequel il est possible d'imprimer les motifs de son choix.
L'eWay est disponible en blanc et en anthracite et coûte 999 euros. L'onduleur PerfectPower de Waeco recommandé par AWN coûte 100 euros.
