Notre grand-voile est équipée de simples glisseurs. Ce qui fonctionne bien sur les petits yachts atteint ses limites lorsque la surface de voile augmente. C'est surtout la latte de sommet continue qui pose problème, elle fait basculer les glisseurs lors de la récupération de la voile, de sorte que la dernière partie de la grand-voile ne tombe pas jusqu'à la bôme sous son propre poids, mais doit être récupérée. On peut le faire avec une gaffe ou en grimpant sur les marches les plus basses du mât. Notre ligne de récupération fonctionne de manière nettement plus confortable. Elle est fixée à la planche de tête et descend le long du guindant de la voile sur environ trois distances de dérapage. Ensuite, elle est prolongée par un bout en caoutchouc qui est fixé deux glissades plus bas. Le cordage permet de tirer la tête de la voile vers le bas et de l'attacher au mât. Le caoutchouc permet à la ligne de rester tendue et de ne pas battre pendant la navigation.
Robert Krinner, Vienne
Les lazy-jacks maintiennent la voile sur la bôme. Mais si le vent est un peu plus fort, la grand-voile peut à nouveau s'envoler vers le haut du mât. C'est pourquoi nous utilisons trois crochets en plastique. Noués d'un côté à l'extrémité des suspentes du Lazy-Jack, ils sont accrochés au-dessus de la voile récupérée. De cette manière, la toile reste bien en place et nous laisse le temps de préparer correctement la manœuvre d'amarrage. Sans mauvaises surprises, tout se déroule sans problème, comme d'habitude.
Stefan Jockenhoevel, par e-mail
Notre système Lazy-Jack se compose de deux points de hissage. Les bouts de celui de l'arrière sont noués à la bôme. Le deuxième point d'amarrage s'accroche d'un côté au premier par le biais d'un anneau noué, le point d'amarrage avant est dévié sur la bôme et relié à un long bout de caoutchouc. Celle-ci passe par un taquet à l'avant de la bôme et revient vers l'arrière. Pour hisser les voiles, il est possible de desserrer les lazy-jacks en tirant des brins de l'élastique et en le plaçant sur le taquet. Lors de la mise à l'eau, le lazy-jack est tendu sous le vent et fixé sur le taquet avec le cordage du point d'amure avant.
Heinz-Peter Schwalbe, Berlin
Pour que la grand-voile reste bien enroulée sur la bôme au moment de quitter le port, j'ai remplacé l'œillet de sangle habituel par un cordage plus long. Je fais un nœud croisé à l'avant autour de la voile, de la bôme et de la drisse de grand-voile déjà manœuvrée. Je passe ensuite la corde à l'arrière et fixe la voile avec un nœud croisé simple. Pour l'affaler, je défais le nœud arrière puis, d'un coup sec, la cale avant. La drisse de grand-voile se libère et je peux hisser la voile.
Dr. Fritz Keller, Hambourg
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