Jochen Rieker
· 30.07.2012
Pour les accros de la vitesse, il n'y a guère mieux. Le nouveau Dragonfly 32 - surtout dans la version Supreme que nous avons testée avec un gréement plus haut et 14 mètres carrés de surface de voile supplémentaires - est un dévoreur de milles. Elle n'a même pas besoin de beaucoup de vent pour s'envoler dans les deux chiffres.
Lors de notre essai, nous avons eu beaucoup de vent, jusqu'à 30 nœuds dans les rafales. Ensuite, le tri de Skærbæk près de Fredericia survole la mer à mi-vitesse avec 16, et jusqu'à 20 nœuds au largue. Et cela sans perfidie, sans faire peur. Une ivresse absolue. Ceux qui ne sont pas sûrs d'être heureux sur trois pattes peuvent d'ailleurs désormais louer le Dragonfly 32 pour la première fois : pour une semaine de brigandage sur la mer Baltique, initiation et entraînement approfondis inclus.
Jens Quorning, chef de la société du même nom Chantier naval Mais il n'est pas seulement un ami de la vitesse. C'est aussi un ingénieur ingénieux qui équipe ses bateaux de nombreux raffinements et qui, malgré sa retenue en matière de poids, parvient toujours à les rendre suffisamment adaptés à la randonnée.
Ainsi, le 32 fait plaisir avec de bonnes dimensions de couchette, une bonne salle d'eau et de nombreux espaces de rangement. En option, le moteur hors-bord peut être remplacé par un moteur électrique extrêmement compact, léger et suffisamment efficace grâce aux batteries lithium-ion.
Pour savoir ce que le Tri peut faire de plus, lisez le test détaillé dans YACHT 17-2012 - maintenant en kiosque.